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Un parti pour rassembler… !

de deux expériences militantes…
Lundi 24 septembre 2018

La question du parti communiste, de son organisation est au cœur des débats de son prochain congrès extraordinaire, à partir de l’expérience de stratégies qui, depuis longtemps, ont cherché des alliances avec les forces politiques de gauche, socialistes « frondeurs », écologistes, « gauche de la gauche », insoumis jusqu’à s’effacer derrière Jean-Luc Mélenchon pour deux élections présidentielles consécutives…. Cette question du lien entre le parti et le rassemblement nous est posée par des résultats électoraux plus que difficiles, mais aussi par des questions pratiques posée aux militants dans les mouvements sociaux. Faut-il des formes souples de mouvements, de fronts, associant largement les citoyens, est-ce l’objectif premier de l’organisation même du parti, voire pour certains une forme nouvelle d’organisation, la forme parti étant dépassée ? Ou faut-il au contraire reposer la question de l’organisation propre du parti, comme une condition, un support même des rassemblements nécessaires ?

Plutôt qu’un débat de principe sur cette question centrale, prenons deux exemples concrets récents, celui du climat avec les mobilisations citoyennes du 8 septembre, et celui des migrants avec les mobilisations à Lyon contre la gestion par la métropole des mineurs isolés étrangers. Dans les deux cas, il y a mobilisation de citoyens s’engageant à partir de leur vécu, et des forces politiques dans un large spectre de gauche… Quelle a été le rôle du parti communiste dans ces deux mobilisations ? A-t-il été utile ? et s’est-il renforcé ?

Dans les deux cas, le parti communiste a cosigné les appels à manifester. Comme souvent, un grand nombre d’associations, de mouvements politiques, de syndicats.. sont cosignataires d’appels dont le contenu semble ne pas faire discuter. Tout le monde semble dire la même chose [1], avec un adversaire commun désigné… pour le climat, les « lobbys » qui défendent les énergies fossiles, la voiture, et pour les migrants, le racisme et… Gérard Collomb, prenant le relais de Sarkozy puis Manuel Valls en affichant fièrement son record de reconduite à la frontière.

Mais est-ce que cette forme de rassemblement est une réussite ?

  • Des citoyens semble jouer un rôle clé, Maxime Lelong, le jeune économiste à l’origine de l’appel aux marches pour le climat indique que la manif ne « mettra pas en avant une organisation en particulier (…) avec un mot d’ordre le plus rassembleur possible ». Il se dit personnellement « ni pro, ni anti-Macron, ni pro, ni anti-Hulot »
  • La manifestation de soutien aux migrants à Lyon fait une large place aux citoyens qui organisent la solidarité, tentent de repérer et d’accompagner des migrants dans la défense de leurs droits…
  • Des forces politiques sont présentes, très diverses pour le climat, la marche étant pratiquement soutenue officiellement par tout le monde, plutôt les forces de gauche non macronisées pour la mobilisation lyonnaise de soutien aux migrants.
  • Les mobilisations n’ont pas un niveau suffisant pour mettre en cause les politiques publiques. Or même si les sujets sont plus consensuels médiatiquement que les revendications du droit du travail ou des cheminots, on sait qu’il faut beaucoup plus d’un million de manifestants pour faire bouger un gouvernement, et on en est loin même pour le climat. Les optimistes diront qu’il s’agit d’un début, d’une construction, les réalistes diront que ces mouvements restent très minoritaires, malgré le large soutien médiatique pour celui du climat…

Mais au fonds, est-ce que ces mouvements ont vocation à devenir majoritaire ? Est-ce qu’ils portent des revendications susceptibles d’unir largement notre peuple ?

La marche pour le climat…

Les objectifs de la marche pour le climat sont résumées dans un appel international « rise for the climat » (lève-toi pour le climat) du site 350.org qui anime les campagnes pour le « désinvestissement » dans les énergies fossiles. Aux USA, la question est d’actualité puisque Trump vient de relancer la construction de centrales électriques fossiles qui avait été stoppé sous Obama, mais en France, l’électricité fossile est marginale et le débat porte sur la date de fermeture des 4 dernières centrales au charbon [2]

Le succès (relatif mais significatif) des marches du 8 septembre confirme que beaucoup de citoyens sont inquiets de ce qu’il faut bien appeler un échec des politiques publiques de réduction des émissions de gaz à effet de serre ! Ces dernières années, les émissions sont de nouveau à la hausse, dans le monde comme en France. La démission de Nicolas Hulot a joué le rôle de révélateur, beaucoup de citoyens, à tort ou à raison, considérant que son départ traduisait un échec de la tentative de transition énergétique [3]… Mais dans le même temps, beaucoup d’usagers vivent mal l’augmentation très significative des carburants fossiles, et notamment du diesel, qui fragilise économiquement beaucoup d’artisans, d’indépendants, et même de salariés qui font face à de nombreux déplacements et ne peuvent facilement réinvestir dans un véhicule neuf. Les débats sur la place de la voiture en ville sont révélateurs des contradictions entre des intérêts de court-terme et de long-terme dans un contexte d’insuffisance des politiques publiques alternatives à la voiture !

La perte de confiance dans les institutions que symbolisent les réactions à la démission de Hulot se mêle ainsi à une perte de confiance dans le discours dominant sur la « transition énergétique ». Presque personne ne nie une réalité que nous vivons tous, avec une année 2017, puis une année 2018 qui battent tous les records de chaleur, mais beaucoup de citoyens ne croient pas que les politiques publiques vont résoudre le problème… Et l’hyper médiatisation de la « réussite » de la COP 21 à Paris a fortement fragilisé les discours, qui sont aujourd’hui décrédibilisés par l’augmentation des émissions…

A vrai dire, les citoyens n’ont donc pas tort, mais qu’entendent-ils sur les alternatives possibles ? Il suffit de lire les appels à la marche du 8 septembre pour réaliser la grande confusion qui existe. Ainsi, il faudrait demander aux caisses de retraites de ne pas investir dans du fossile. Mais qui demande aux caisses de retraite d’investir ? Ceux qui pensent que la retraite repose sur la capitalisation et que c’est la valeur des actions investies qui permettra demain de payer des retraites. Au contraire, les progressistes en France défendent la retraite par répartition, qui elle, n’a pas besoin d’investir, puisque son rôle est seulement de répartir [4] ! La domination des discours d’ONG anglo-saxonne conduit des forces politiques de gauche à défendre une revendication… de droite !

Et pour remplacer le fossile, les appels pour le climat ne mette en avant qu’une solution, le 100% électrique renouvelable avec l’éolien et le photovoltaïque. Mais l’électricité en France, contrairement à l’Allemagne ou les USA, est déjà décarbonée ! S’il faut réduire les émissions carbonées en France, c’est en remplaçant le gaz dans le chauffage, en remettant les marchandises sur le rail plutôt que sur le camion, en développant à grande échelle des transports en commun en urbains et interurbains, en organisant le remplacement accéléré des moteurs thermiques du parc automobile, voitures, bus…. Or, ces sujets ne sont pas abordés dans l’appel aux désinvestissements fossiles qui se concentre sur l’électricité fossile !

… et l’apport des communistes sur le climat !

Voila un sujet ou les communistes devaient faire entendre leur propre voix, avec un argument désormais incontestable, celui de l’expérience allemande. Depuis bientôt 10 ans, l’Allemagne a engagé une transition énergétique de grande ampleur, devant sortir à la fois du fossile et du nucléaire. Elle a financé le plus grand effort de développement des ENR électrique du monde (après la Chine). Elle possède désormais un parc éolien et photovoltaïque qui représente le double de la puissance nucléaire de la France ! Et pourtant, elle continue d’avoir une électricité carbonée à 50%, car cette énorme puissance ENR ne remplace que le nucléaire… Autrement dit, cet énorme effort qui fait de l’éolien un des plus gros secteurs économiques de l’Allemagne, est un terrible échec du point de vue de l’action pour le climat, un échec de plus très coûteux pour l’usager qui paie son électricité le double d’un Français, tout en émettant… le double de carbone !

Face à l’enjeu climatique, le nucléaire n’est pas le problème, et même ceux qui ne pensent pas qu’il puisse être une partie de la solution devrait réaliser que l’urgence en France n’est pas dans l’électricité, qui ne représente qu’un tiers de nos consommations énergétiques et bien peu de nos émissions. Non, l’urgence est d’abord dans les transports et c’est un argument essentiel pour dénoncer la casse de la SNCF, sujet totalement absent des appels pour le climat !

En appelant à un tel « rassemblement » en faisant l’impasse sur le contenu, sans discuter des revendications, sans apporter d’arguments aux citoyens pour construire une opinion indépendante des discours dominants, le parti communiste ne renforce pas les mobilisations. Il n’aide pas les communistes à montrer que les contradictions ne sont pas entre ceux qui font du vélo en zone urbaine et ceux qui continuent à rouler beaucoup avec leur voiture diesel, il n’aide donc pas au rassemblement, et il disparaît dans le paysage médiatique… (comme sur de nombreux sujets, les médias évoqueront le soutien des écologistes et des insoumis, passant sous silence le PCF…)

Pourtant, le PCF a des dizaines de militants chevronnés sur les questions de l’énergie, on peut trouver de très nombreuses études, des livres, des sites internet, des articles politiques, écrits par des communistes et qui permettrait de mener le débat citoyen sur l’urgence climatique. Pour un communiste, il est naturel de reprendre la formule « ce n’est pas le climat qu’il faut changer, c’est le système », et montrer que toutes les techniques, nucléaire, éolien, photovoltaïque… font partie du système, l’enjeu principal étant de défendre le service public, l’investissement public, et le rôle de l’état contre les lobbys privés, tous les lobbys, y compris ceux des renouvelables. Ainsi, le PCF aurait du à cette occasion dénoncer la décision récente du président de la république d’accorder un tarif de 150€/MWh [5] aux installations éoliennes en mer du Tréport… un scandale dénoncé par beaucoup et qui représente sur la durée de vie des installations des subventions de 40 Milliards aux entreprises concernées… qui ne sont évidemment pas des PME locales !

Sur ce sujet, la priorité au rassemblement conduit à affaiblir les revendications, et même à se retrouver derrière des revendications qui s’inscrivent dans le système capitaliste, et donc à aggraver les contradictions dans le mouvement social lui-même entre les illusions dominantes et la critique du système. En ne jouant pas son rôle, le parti communiste s’affaiblit, disparaît, mais en fait, il contribue aussi à affaiblir la mobilisation sociale, il joue contre la force potentielle du rassemblement populaire !

Le soutien aux mineurs isolés étrangers…

Les mobilisations de soutien aux migrants sont anciennes à Lyon, ville qui a une longue tradition d’accueil et des associations fortes organisant l’hébergement d’urgence, l’asile… Un rassemblement était organisé devant la métropole de Lyon pour dénoncer la situation de jeunes migrants à la rue et les conditions de leur accueil.

Le service métropolitain (anciennement départemental) bien que fortement renforcé ces dernières années, est visiblement débordé et les citoyens mobilisés sont très critiques sur les conditions d’accueil. Des communistes de lyon ont participé au rassemblement avec des élus communistes métropolitains et l’intervention de Marie-christine Burricand affirmant que la Métropole n’assume pas ses responsabilités ! a été très appréciée.

Cependant, les discussions qui se sont poursuivies avec tous les acteurs, y compris l’association forum réfugiés qui assure cet accueil « inconditionnel », avec des travailleurs sociaux impliqués, avec les structures d’hébergement d’enfants isolés montrent le besoin d’un débat sur les revendications.

Ainsi, ce qui pose le plus grave problème n’est pas l’accueil inconditionnel, celui qui est ouvert à tous les jeunes se présentant comme mineurs et que la loi rend obligatoire. Les équipes de Forum réfugiés qui l’assument sont formées et dimensionnées pour accueillir 25 à 30 mineurs théoriquement pour 5 à 13 jours, le temps des vérifications. Si des solutions d’hébergement étaient trouvées rapidement pour la moitié des cas où la minorité est confirmée, le nombre de places de l’accueil inconditionnel serait suffisant ! Mais évidemment, aucun n’est remis à la rue ! Le plus grave problème est donc le manque de places dans l’accueil de l’enfance… et par ailleurs pour ceux qui ne sont pas reconnus comme mineurs, le manque d’hébergement de demandeurs d’asile ou de déboutés du droit d’asile…

Évidemment, cela créée des tensions pour les agents de la métropole et pour les associations impliquées, et la première critique forte du discours métropolitain, serait non pas de dénoncer ceux qui tentent de faire fonctionner le service, mais l’absence de tout message fort de la métropole sur le sens politique de cet accueil, sur la mission qui est confiée aux services et aux associations.

Dans ce cadre, l’appel à la manifestation, centré sur l’exigence d’internaliser cet accueil, en critiquant fortement l’association forum réfugiés, demandant de renforcer cet accueil initial sans évoquer les moyens de l’aide sociale à l’enfance, tout cela dans un discours général du « droit à la libre circulation », est très contradictoire.

… et l’apport des communistes sur les migrants !

Les communistes ne devraient pas signer un tel texte sans dénoncer l’idéalisme de la libre circulation, car qui peut croire que les réfugiés fuyant les bombes relèvent de la « libre circulation » ? Qui peut croire qu’en affirmant que les migrations de masse sont un droit sans jamais critiquer les guerres et les inégalités économiques qui en sont pourtant les causes, on va pouvoir rassembler ?

Notre peuple est tiraillé entre la solidarité naturelle avec les enfants à la rue, avec les migrants fuyant les guerres, et sa colère de plus en plus déterminée contre une mondialisation violente, injuste, qui organise la concurrence généralisée et détruit les services publics et les droits… L’urgence pour les communistes est de faire entendre une position qui place clairement les droits des migrants comme les droits de tous, non pas un droit spécifique idéal et idéaliste à circuler partout, mais un droit concret au respect, à la dignité, au logement. La solidarité pleine et entière avec les migrants suppose pour notre peuple une action résolue contre les passeurs, dont les états corrompus qui organisent et profitent des migrations [6]. Elle suppose aussi un réel droit au retour, non pas au retour honteux de celui qui s’est fait rejeter, mais un retour gagnant de celui qui a pu acquérir des compétences pour contribuer au développement de son pays. Parce-que la vraie réponse aux migrations de masse est la paix et le développement, les migrants eux-mêmes peuvent être une chance pour tisser des liens économiques mutuellement avantageux avec leur pays.

C’est pourquoi les communistes devraient toujours à propos des migrants dénoncer d’abord les politiques néocoloniales de la France, exiger un renversement complet de notre diplomatie pour engager enfin la France dans le soutien au développement et le respect des indépendances nationales, pour mettre en place avec les pays d’origine des programmes de développement qui ouvrent la possibilité de « retours gagnants », affirmer non pas le droit virtuel à la « libre circulation », mais l’exigence d’un droit bien réel au développement permettant de vivre dans son pays.

C’est la condition pour ne pas laisser l’extrême-droite utiliser les migrants pour diviser les peuples entre solidarité et défense de ses propres droits.

Dans cet exemple aussi, la priorité à des rassemblements sur la base des discours dominants, l’absence d’organisation propre du parti sur ces sujets, de décisions autonomes pour organiser les communistes impliqués est non seulement un facteur d’affaiblissement du parti, mais aussi d’affaiblissement du rassemblement. Dans les quartiers populaires frappés par le recul des droits, les populations d’origine immigrées connaissent bien les problèmes de papier, de frontières, car elles ont souvent des parents, cousins, voisins qu’il faut faire venir, loger, et accompagner pour obtenir un droit de séjour. Mais sans bataille politique, leur réflexe sera bien évidemment de dire « on doit déjà s’occuper des nôtres ! »

De fait, élargir le rassemblement de soutien aux migrants ne peut se faire seulement avec l’émotion, « l’humain », mais a besoin de la critique du discours médiatique dominant, d’éclairer les responsabilités du capitalisme, de nos multinationales, de notre armée. Il doit inscrire des revendications dans la perspective d’un monde qui ne considère pas les pauvres du Sud comme une ressource pour les riches du Nord, mais comme des peuples qui ont le droit au développement, à la coopération, à « vivre et travailler au pays », et que c’est le premier objectif des communistes !

Oui, le parti est l’outil du rassemblement populaire

On pourrait prendre de nombreux exemples qui confirment que le contenu du rassemblement est une des conditions de son élargissement, de son potentiel majoritaire, et que ce contenu ne peut jamais se limiter à « l’humain », mais doit faire la critique du discours médiatique dominant, doit éclairer les responsabilités du capitalisme, de nos multinationales, de notre armée. Le rassemblement a besoin de revendications qui ne sont pas immédiates, qui ne sont pas nécessairement portées par les citoyens inquiets, et donc pas nécessairement consensuelles dans les mobilisations.

Autrement dit, il faut mener une bataille d’idée résolue qui mette une critique approfondie du capitalisme au service de mot d’ordres qui portent à la fois la colère contre une situation vécue, et la perspective du changement de société. C’est là le travail indispensable du parti communiste !

Non seulement, le parti n’est pas un frein au rassemblement, contrairement à ce que disait Stéphane Peu dans une rencontre sur le logement [7], mais il en est une condition, car il est seul à pouvoir porter une critique radicale du capitalisme et de toutes les idéologies, tous les idéalismes derrière lesquelles il se cache, anti-productivisme, décroissance, mondialisme, « localisme », humanisme…

De fait, les mobilisations sociales se heurtent toutes à la question clé des conditions de leur élargissement jusqu’à devenir une force majoritaire, capable de transformer la société. On peut bien sûr se limiter à une action locale, partielle, qui peut être juste, mais accepte de s’inscrire dans le cadre existant, de ne pas le mettre en cause. Il n’est alors pas nécessaire de rassembler à grande échelle. Mais pour porter un mouvement jusqu’à la mise en cause du système, il faut lui permettre de s’organiser en toute autonomie et en rupture avec les idées dominantes, il faut lui permettre de se débarrasser de tous les idéalismes qui pousseront au compromis, au renoncement, et qui seront sources de divisions, de freins au rassemblement.

L’existence du parti est ainsi une question clé du rassemblement populaire lui-même, il répond au besoin d’une organisation pour aider le mouvement social à se construire pour lui-même, pour aider le peuple à devenir indépendant des idées dominantes, et donc des médias dominants. Le parti est l’outil du rassemblement !

Cet article s’inspire d’une intervention faite à la rencontre des communistes de Vénissieux le 20 Septembre dernier, rencontre qui présentait les 4 textes proposés comme base commune que les communistes doivent choisir début octobre.

[1même si on peut bien sûr trouver ailleurs des différences dans des textes plus approfondis

[2qui ne représente que 3% de la production électrique totale…

[3et aussi sans doute des espoirs de nouvelle pratique politique…

[4et ce n’est pas parce-que malheureusement beaucoup de caisses de retraite complémentaires utilisent leurs ressources pour jouer à la capitalisation qu’il faut leur donner raison en justifiant cette transformation de leur rôle !

[5tarif hors raccordement, projet lancé par Sarkozy, négocié par Hollande avec un prix faramineux de 220€ incluant le raccordement, 4 fois le prix de vente de l’électricité, prix dénoncé par la cour des comptes et la commission de régulation de l’énergie, et qui faisait l’objet d’une enquête parlementaire… Mais Macron tentait sans doute de retenir Nicolas Hulot…

[6l’expérience a montré que la Turquie a parfaitement les moyens d’ouvrir ou de fermer le passage comme moyen de rapport de force avec l’europe

[7le parti est un frein au rassemblement dans ma ville…

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