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libre enfin oh ma patrie, je dirais tu es à moi…

Lundi 1er mai 2017 — Dernier ajout jeudi 6 août 2020

Le 2e tour des présidentielles interpelle beaucoup de progressistes qui ne veulent ni du racisme d’état, ni de la finance reine, et qui vivent comme une piège infernal cette élection orchestrée par les médias.

Le pire est sans doute le travestissement des mots que porte cette campagne, notamment sur le patriotisme. Marine Le Pen en a fait son mot fétiche, et Emmanuel Macron tente de lui reprendre… Mais ni l’une ni l’autre ne peuvent porter cette patrie que chantaient les déportés, celle des résistants immigrés et ouvriers, celle que chantait Ferrat…

Dans ce tumulte médiatique souvent indécent, instrumentalisant les symboles en les vidant de tout contenu historique, l’anniversaire de la libération des camps, ce 30 avril 2017, était un moment d’émotion avec le chant des marais qui parle si bien de la patrie du cœur, pas celle des armées conquérantes, ni de la concurrence économique, celle des gens simples venus de partout qui résistent et reconstruisent la liberté…

31/04/2017 : Cérémonie de la libération des camps de concentration
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Comme chaque année, c’est avec une grande fierté que nous honorons avec le drapeau de la section PCF, tous les déportés Vénissians…

31/04/2017 : Cérémonie de la libération des camps de concentration
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Mais un jour dans notre vie, Le printemps refleurira Libre enfin, ô ma patrie, Je dirai tu es à moi.

C’est pourquoi le slogan facile de cet entre deux-tours « ni patrie, ni patron » fait mal au cœur, tant il cache que les patrons justement n’ont pas besoin de patrie, tant il est en fait la négation de ce qui permettra aux peuples de retrouver leur souveraineté, refuser les guerres et les confrontations, pour qu’enfin ils puissent dire aux patrons : « patrie, tu es à moi »…

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