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Un ardent défenseur de la cause nationale

Vous trouverez en pièce jointe le numéro d’El Watan daté du samedi 20 juillet 2013, avec en page 7 une page complète en hommage à Henri Alleg.

Cet hommage rendu par le plus grand quotidien algérien francophone montre la place qu’a tenu Henri Alleg, et au delà de lui, le Parti Communiste Algérien, dans la lutte de libération nationale et l’histoire de l’Algérie contemporaine.

Celles et ceux qui font l’effort de lire la totalité du numéro du samedi 20 juillet 2013, pourront, comme un clin d’ ?il de l’histoire, prendre connaissance de la fin d’une série d’articles qui pose la question du pouvoir en Algérie… du sens de la révolution, à mettre en regard des « révolutions dans le monde arabe » actuelles, et leur trahison par ceux qui ramassent la mise sans ou contre leur peuple.

A noter que les militants du PCA, dont certains ont été torturés ou éliminés par les « vainqueurs » de la révolution algérienne, après être entrés en clandestinité, ont reconstitué une force communiste qui ne participe pas aux « élections », divisée en plusieurs groupes depuis la mort en 2005 de leur dirigeant charismatique EL HACHEMI Chérif : « Il est, en 1966, membre fondateur du PAGS et président du Mouvement démocratique et social qu’il fonde en 1996. Il a refusé de cautionner tous les processus électoraux initiés en Algérie depuis 1990, estimant ceux-ci biaisés et au bénéfice du pouvoir en place. Il a été l’opposant le plus radical à l’intégrisme et prônait la »double rupture« , avec l’islamisme et le système rentier au pouvoir en Algérie ». cf Wikipédia.

Le premier maire de Tipasa, chère à mon cœur, après l’indépendance était du PAGS : une des premières mesures prises aura été la construction de petites unités HLM pour y loger, de manière décente, les anciens indigènes de la République française, qui affiche si fièrement sa devise « Liberté, Egalité, Fraternité ».

Pour ceux qui voudraient mieux appréhender l’Algérie d’avant l’indépendance, il existe un nombre conséquent d’ouvrages historiques. Mais pour moi le choc aura été la lecture de « Ce que le jour doit à la nuit » de Yasmina KHADRA, édité en livre de poche Editions Pocket.

Je conseille d’ailleurs la lecture de TOUS les ouvrages de Yasmina KHADRA, sans exception, à la fois pour les qualités littéraires et les thèmes abordés (« Les hirondelles de Kaboul » est également un choc, traitant de la place de la femme dans une société islamiste jusqu’auboutiste dans la haine de la femme, mais aussi de la lâcheté dont le commun des mortels peut faire preuve soumis à un système totalitaire). Un film a été réalisé l’année dernière tiré de « Ce que le jour doit à la nuit », dirigé par Alexandre Arcady. Mieux vaut voir le film en premier !!! Le thème traité est la vie d’une bourgade de l’ouest algérien, dans la région de d’Oran, jusqu’au déclenchement de la guerre de libération : un portrait sans complaisance avec l’Amour entre les êtres, aussi.

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