Deux femmes et un enfant sont morts dans l’incendie de l’usine désaffectée de Lyon où 200 roms avaient trouvé refuge. Un squatt dénoncé dangereux par les associations humanitaires, où l’eau et l’électricité avaient été coupés juste avant le drame.
Ces morts étaient évitables, elles sont le prix de la « patate chaude » pratiquée par le préfet et l’état. Plus que jamais, des solutions dignes et humaines doivent être mises place pour en finir avec ces bidonvilles meurtriers et indécents !