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Avec Marie-Georges BUFFET, Nous Votons Communiste !

среда 18 Апрель 2007 — Последнее обновление суббота 2 Июнь 2007

André Gerin, Jean-Claude Danglot, Frédéric Bernabé, Freddy Huck, Jean-Pierre Meyer, Olivier del Rizzo, Marie-Christine Burricand, Jean-Louis Rolland, Michèle Picard, Christian Serve, Henri Martin, Jean Miaille, Léandre Curzi

LE 22 AVRIL

AVEC MARIE-GEORGE BUFFET

NOUS VOTONS PCF

POUR UNE ALTERNATIVE ANTI CAPITALISTE ET ANTI IMPERIALISTE

Le 22 avril le score de Marie-George Buffet peut contribuer aux combats pour plus d’égalité, de fraternité et de liberté. Les électeurs n’ont pas oublié leur vote NON au référendum du 29 mai 2005. Ce vote exprimait un rejet profond d’une Europe d’injustice, d’une Europe arrogante et écrasante, l’Europe de la finance, des lobbies, des technocrates. Quant au fond ce vote a adressé un carton rouge au capitalisme, dont l’insolence vient de se manifester une nouvelle fois avec les 8 millions d’euros distribués au patron d’Airbus, sabordeur de 10 000 emplois.

La misère gagne du terrain. Les travailleurs et leur famille sont appauvris par la hausse des prix, le chômage, la précarité. Tous les salariés, même ceux des couches dites «moyennes» sont touchés alors que le capitalisme prétendait assurer leur prospérité. La crainte pour l’avenir, notamment des enfants, prend un tour lancinant. Les classes populaires sont exclues de tous progrès et objets de marketing pour la politique. La France populaire souffre.

Les arguments de campagne sont bien éloignés des réalités du pays. Le capitalisme et les medias à sa solde s’ingénient à faire disparaître toutes les dimensions sociales et économiques de la campagne, et ainsi privilégier le «politicien» au détriment des questions fondamentales de changement de société. Mais les Français n’oublient pas que les trois candidats qui sont en tête des sondages ont tous trois voté OUI des deux mains au référendum de 2005 sur la constitution européenne.

Nicolas Sarkozy est le matamore des marchés financiers, de l’Europe ultra-libérale, de la technocratie inhumaine, des thèses les plus réactionnaires.

François Bayrou est le copain distingué des actionnaires fortunés qui en veulent toujours plus.

Ségolène Royal rejoue la partition éculée du social libéralisme de Jospin, agrémentée de ronds de jambes.

Le parti raciste, xénophobe et ultra-capitaliste de Le Pen demeure en embuscade. C’est l’épouvantail que l’on agite devant les électeurs pour les ramener dans le bercail du «vote utile». Cela fait plus de 20 ans que les élites politiques et économiques s’ébrouent dans cette fange. On ne dira jamais assez à quel point ceux qui «jouent» avec le FN portent des coups aux acquis sociaux et démocratiques du peuple français et jettent un discrédit terrible à la vie politique française.

Ne nous y trompons pas ! La température sociale monte inexorablement. Il y a un profond mécontentement dans notre pays, une envie d’en découdre avec ceux qui torpillent la France depuis plusieurs décennies. Personne n’ose contester sérieusement l’idée que la vie politique française a besoin d’un sérieux coup de torchon. L’immense masse des citoyens rêve de donner quelques bons coups de pied au cul des élites de la nation qui sont de moins en moins républicaines et de plus en plus asservies au système capitaliste, UMP et MEDEF en tête.

Le Parti communiste français, au plan politique, est le seul à lutter pied à pied contre les dégâts que commet le capitalisme dans les quartiers populaires, les entreprises, les institutions, les services publics et à être en mesure de contribuer à construire avec notre peuple une alternative sérieuse, anticapitaliste et anti-impérialiste.

La mobilisation des militants et des élus communistes tout au long de la campagne électorale est un facteur d’espérance. L’affluence aux meetings de Marie-George Buffet en témoigne. C’est dans cet engagement militant des communistes que réside le plus grand espoir.

Le 22 avril peut marquer le début de la reconquête pour le Parti communiste français. Notre peuple, notre France en ont grandement besoin. Le Parti communiste français peut et doit redevenir le parti des classes populaires pour contribuer à un grand mouvement social et à l’union du peuple de France. Plus que jamais la vraie question est celle de construire une alternative au capitalisme, celle du changement de société.

Le 22 avril, avec Marie-George Buffet, nous votons PCF

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