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Un peuple miné par la crise divisé par le Front national
Vénissieux fait partie avec Vaulx-en-Velin, Clichy ou Henin-Beaumont des villes qui ont fait la une des médias autant sur les violences de la crise urbaine et sociale, que sur la place du Front National. Mais chaque ville est singulière et Vénissieux a connu ses « étés chauds » dès 1982, ouvrant une période destructrice sur sa « ZUP » et la ville qui allait perdre 20 000 habitants en quinze ans… Et en 1995, le FN devenait la première force politique, frôlant les 30% au deuxième tour. Vingt ans après, le FN est localement affaibli, et un nouveau maire communiste dirige une ville dynamique toujours solidaire et rebelle… Mais rien n’est jamais joué et la crise sociale n’a jamais été aussi brutale…