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En réponse à l’article :
libre enfin oh ma patrie, je dirais tu es à moi…
Le 2e tour des présidentielles interpelle beaucoup de progressistes qui ne veulent ni du racisme d’état, ni de la finance reine, et qui vivent comme une piège infernal cette élection orchestrée par les médias. Le pire est sans doute le travestissement des mots que porte cette campagne, (...)