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Pour nos enfants, l’école au coeur !

22 Octobre 2013 18h, Salle Albert Rivat
Mardi 1er avril 2014 — Dernier ajout vendredi 4 avril 2014

article écrit en Octobre 2013 non publié sur ce blog de la section de Vénissieux compte tenu des lois sur la communication en période électorale qui autorisent tout sur Facebook ou twiter, mais qui rendent incertain le statut d’un site militant qui n’est pas nécessairement reconnu comme le site officiel d’un parti politique, les sections locales d’un parti n’étant pas déclarées comme parti…

L’école a toujours été au cœur de l’action communale pour les communistes, parce qu’elle est un facteur essentiel d’égalité, de vivre ensemble, d’ouverture aux autres et au monde.

Les politiques d’austérité des différents gouvernements ont grandement fragilisé l’école publique au travers du manque d’enseignants notamment, qui se traduit très concrètement par des absences non remplacées, un nombre d’élèves en classe trop important, la difficulté d’accueillir les enfants de deux ans en maternelle…Et plusieurs fois, parents, enseignants et élus ont agi ensemble pour obtenir de l’Education nationale les moyens nécessaires, notamment les remplacements d’enseignants.

Plus de 8000 enfants fréquentent les groupes scolaires de la ville, qui sont pour leurs locaux, cantines et entretien de la responsabilité de la commune.

Malgré les difficultés budgétaires, Vénissieux a toujours« mis le paquet » pour les écoles

Ainsi, pour faciliter l’accueil des plus petits en maternelle, la ville a fait le choix d’une ATSEM (Agent spécialisé des écoles maternelles) par classe malgré la dépense supplémentaire que cela représente. Idem pour les infirmières scolaires où la commune a pallié au désengagement du département. Les services culturels de la ville( Médiathèque, Cinéma, Théâtre…) développent un effort important en direction des scolaires, de la maternelle au lycée en passant par les primaires et collèges.

La cuisine centrale permet à près de 3500 enfants de prendre un repas équilibré à la cantine avec des tarifs qui prennent en compte les revenus des familles en aidant au maximum les plus pauvres sans pour autant pénalisér les familles de salariés.

Pour faire face de bonne manière à l’augmentation des effectifs, l’équipe municipale a investi 11,5 millions d’euros dans la reconstruction du Groupe scolaire Joliot-Curie et 2,5 millions dans l’extension de l’Ecole du centre. La reconstruction de la cuisine centrale est au programme du prochain mandat, avec l’objectif de maintenir et développer un service public de qualité pour la restauration scolaire.

Une consultation est engagée à Vénissieux auprès des parents d’élèves concernant la mise en place des nouveaux rythmes scolaires. Là ou elle a été mise en place, cette réforme semble susciter pour le moment plus de problèmes qu’elle n’apporte de bien-être aux enfants. Se préoccuper des rythmes des enfants, c’est bien. Mais, l’Etat en se désengageant du péri scolaire auprès des communes, sans compensation financière à la hauteur, va créer des inégalités entre enfants selon la taille ou les moyens de la commune. Ces dépenses supplémentaires vont peser lourd sur les budgets des communes qui pour certaines devront arrêter d’autres activités en direction des enfants. Tout cela donne l’impression que le gouvernement ne met pas les moyens à la hauteur des intentions annoncées.

Avec leurs élus, les vénissians se sont aussi beaucoup mêlés de la situation des collèges et lycées qui dépendent respectivement du département et de la région.

C’est ainsi qu’ils ont tous ensemble obtenu la reconstruction des collèges Jules Michelet et Honoré de Balzac et des travaux importants à Elsa Triolet. Des opérations de réhabilitation lourdes sont absolument nécessaires à Paul Eluard et Louis Aragon.

Nous avons mis toutes nos forces pour gagner la reconstruction du lycée Jacques Brel aux Minguettes contre ceux qui prétendaient qu’un grand lycée dans un quartier très populaire, cela ne pouvait pas marcher. Le lycée sera bientôt reconstruit et ses effectifs ont cessé de baisser. Nous voulons gagner des formations de pointe, intéressant les jeunes de toute l’agglomération. Forts de cette victoire, nous lançons la proposition d’un établissement universitaire à Vénissieux. Ne serait ce pas justice pour la troisième ville du département ?

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