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Pour une union populaire agissante et transformatrice

Proposition de base commune alternative au texte sur la stratégie
Dimanche 1er janvier 2006 — Dernier ajout vendredi 6 janvier 2006

Le projet du CN sur la stratégie est très ambigu sur la conception du rassemblement et les alliances pour les élections de 2007. Ne portant que sur la stratégie électorale, il sous-estime l’exigence, pour construire un rassemblement populaire transformateur, d’organiser l’action. Il tend à prioriser la construction d’une alliance électorale, sur un programme et des candidatures communs pour les élections présidentielle et législatives, tout en tentant de structurer une autre formation politique, hétéroclite, pour revenir ensuite à une subordination à l’alliance avec le PS. Hésitant à traiter explicitement du contenu des problèmes posés à gauche, avec le PS, avec l’extrême-gauche, il n’aborde pas les enjeux, pour une union populaire agissante et transformatrice, d’une action autonome du PCF et d’un progrès de son influence, en relation avec les luttes en cours. Il traite d’une participation éventuelle au gouvernement, comme d’un choix de principe, sans référence à des principes clairs pouvant servir de base, le cas échéant, pour décider ; et sans mettre en premier notre participation au développement de luttes transformatrices, avant comme après une telle décision. Tout en affirmant la souveraineté des communistes, il tend à la subordonner à des négociations de sommet pour des alliances. Au contraire, il faut déployer les débats et les luttes pour des propositions transformatrices, y compris avec l’enjeu du 1er tour, sans les court-circuiter par une recherche d’accord prioritaire et illusoire sur un programme commun, tout en ayant le débat public avec toutes les forces de gauche. Au Conseil national, après avoir présenté des amendements, plusieurs d’entre nous ont demandé que le texte commun présente les termes du débat, en introduisant en option des propositions clarifiant la position du PCF. Cela n’a pas été retenu. Nous le regrettons. Cela nous contraint à formuler ces propositions dans le texte qui suit. Il sera utile. Il peut être retiré si le CN décide d’introduire dans le projet de base commune les propositions en option. Sinon il pourra, selon le vote des communistes, devenir la base de discussion, ou encore servir au débat d’amendement jusqu’au Congrès.

Notre ambition : une transformation radicale de la société pour changer la vie en allant vers une nouvelle civilisation

Nous voulons contribuer à créer les conditions d’un profond changement de politique et des institutions, traduit rapidement par une amélioration sensible de la vie de chacun-e. Nous proposons de tout mettre en œuvre pour ouvrir une telle perspective dès les échéances présidentielles et législatives de 2007 : battre la droite dans des conditions permettant la mise en œuvre réussie et durable d’une politique de véritables progrès sociaux. Les expériences passées montrent que cela ne saurait être délégué à un président ou à une majorité parlementaire, quels qu’ils soient. Ce ne peut être l’œuvre que d’une union populaire agissante, exigeante, pour faire prévaloir les contenus, les rythmes, les modalités des transformations à opérer et assurer un contrôle participatif, avec les interventions des travailleurs et des citoyens, jusqu’aux élus.

On ne doit pas accepter que quiconque à gauche agisse aujourd’hui comme si les déceptions accumulées n’avaient pas conduit à la grave sanction électorale du 21 avril 2002, mais se fonder sur l’autocritique publique des expériences passées.

D’alternance en alternance, depuis plus de 20 ans, la gauche, toute la gauche, a été en échec et a gravement déçu. Cela tient particulièrement aux effets de la dérive sociale-libérale d’un PS hégémonique, conduisant à capituler devant la domination des marchés, et surtout du marché financier. Cela tient aussi à une construction délégataire, et à la domination des appareils techno-bureaucratiques, à l’opposé de l’intervention des travailleurs et des citoyens. Notre Parti a quant à lui manqué de fermeté, face à ces dérives, et parfois cédé, alors que l’extrême-gauche, dans la mesure où elle se limitait à la protestation et stigmatisait les quelques réformes anticapitalistes conquises, notamment par l’action des communistes, ne contribuait pas à éclairer l’alternative.

Toute la gauche est donc aujourd’hui au défi de convaincre qu’il est possible de construire et de mettre en œuvre une politique transformatrice répondant aux exigences populaires. Il faut s’attaquer aux causes des échecs et du fossé qui s’est creusé entre elle et le peuple. Ce qui a rendu possible la dynamique du 29 mai, ce sont, avec l’engagement et l’apport du PCF, des débats en profondeur, mettant en cause les politiques patronales et le renforcement de leur soutien institutionnel par le projet de traité constitutionnel ; ce sont les luttes porteuses d’exigences en rupture avec le déchaînement sans précédent des maux du capitalisme, et du libéralisme. Il s’agit aujourd’hui, non seulement de prolonger ce mouvement, mais de l’élargir et de rendre son contenu constructif, cohérent et efficace, afin qu’un nouveau rassemblement populaire s’empare de grands axes de transformation sociale radicale.

Cela exige de construire, autour d’un projet antilibéral et anticapitaliste, un mouvement populaire apte à battre la droite et à ancrer une majorité politique, dégagée de la résignation à la domination des marchés capitalistes et des délégations bureaucratiques ; un mouvement se donnant les moyens d’imposer des avancées sociales radicales.

Une course de vitesse, un affrontement de classe et d’émancipation des dominations sociales

La période actuelle est caractérisée par la violence des politiques de régression sociale et démocratique en France et en Europe, et la montée, sous différentes formes, de la colère, du refus. C’est une période nouvelle, marquée par un affrontement de classe entre avancée et recul de civilisation ; une période « ouverte » où les risques et les possibles sont considérables : la question d’une vraie alternative se pose avec urgence mais aussi exigence. Avec les effets des politiques libérales, l’idée que ça ne peut plus durer grandit, la perception du « possible » tend à se modifier ; une brèche s’est ouverte dans le dispositif idéologique alimentant la résignation. Cela donne du champ à une issue politique de transformations radicales. La droite, alertée par la dimension de classe du 29 mai, connaît cette réalité. En réaction, elle accélère sa politique de casse, et agit, face aux luttes, pour briser tout espoir. Malgré ses échecs électoraux, et l’absence de consensus populaire sur ses choix ultra-libéraux, elle ambitionne de « passer » en 2007. Elle cherche même à capter le besoin de changement en donnant l’illusion d’une alternative à droite. Elle tient à cet effet, et pour récupérer les voix du FN, un discours populiste et sécuritaire, à l’opposé de mesures radicales contre l’insécurité sociale.

Sans rupture effective avec les politiques menées depuis tant d’années, et sans la construction de nouvelles institutions, d’autres discours de « rupture », y compris ceux tenus à droite, risquent de faire illusion. Pour déjouer ce piège, il faut que la gauche offre une tout autre perspective qu’une nouvelle « alternance ». C’est possible. Le principal atout ce sont les luttes, la contestation grandissante des conséquences du libéralisme, pour des transformations profondes, les convergences nouvelles d’action entre couches populaires et couches moyennes salariées.

La situation est donc ouverte : une alternative est possible. Nous voulons faire partager cette conviction, donner de l’espoir, mobiliser pour gagner. C’est inséparable, à l’opposé des illusions d’hier, d’une prise de conscience des conditions à réunir, des obstacles à surmonter.

Car des problèmes politiques sérieux restent posés à la gauche, divisée sur les contenus et la construction d’un autre projet.

Cela pèse sur le niveau de la riposte à la droite et au Medef ; c’est un handicap pour le mouvement social. Le 21 avril 2002 a signifié qu’une rupture avec une gestion prisonnière des normes imposées par les forces ultra-libérales était impérative. Le 29 mai 2005 atteste qu’une démarche démocratique et citoyenne sur des contenus transformateurs peut donner force majoritaire à un projet antilibéral de progrès social radical.

Pour les communistes, il s’agit, selon l’idée formulée au 32e Congrès, de mettre en œuvre « une nouvelle conception du rassemblement politique et de l’union » en « faisant vivre dans tous les domaines une démarche politique participative reposant non sur la délégation de pouvoirs mais sur l’implication de chacun(e) et de tous ». Nous devons continuer à en tirer les conséquences pour les élections, mais aussi pour nos pratiques dans les institutions et nos alliances.

Rompre avec le libéralisme ou l’aménager : le débat populaire est lancé. Déjà il oblige les partis de gauche à prêter une oreille différente aux aspirations transformatrices exprimées lors du référendum. Mais il reste beaucoup à faire, au regard des prises de position et des choix stratégiques des formations de gauche et d’extrême-gauche. C’est ce que montre, au PS, la contradiction d’un discours gauchi sans mise en cause effective des idées sociales-libérales, pourtant nécessaire pour une autre construction en France et en Europe, quant aux objectifs sociaux, aux moyens financiers et aux pouvoirs. Quant à l’extrême gauche, essentiellement cantonnée à des positions protestataires, elle développe une conception étroite du rassemblement, au risque d’abandonner l’électorat socialiste au social-libéralisme. Pour répondre aux besoins du peuple, il faut rompre avec le libéralisme. Cela nécessite de travailler à un rassemblement populaire, à une majorité transformatrice. Dans cette perspective, ne peut être ignoré le besoin d’un apport original du mouvement syndical à partir de ses propositions et dans le respect de son indépendance et de son rôle propre.

Pour ce qui relève du PCF, il nous faut tirer les enseignements de notre action et de notre démarche de rassemblement dans les idées, les luttes et lors des élections. On peut mettre au compte de nos avancées, une combativité retrouvée, des apports utiles dans les luttes, notre contribution autonome lors des derniers rendez-vous électoraux, avec des propositions, pour aider à l’intervention populaire et animer des dynamiques unitaires. Reste à élargir et approfondir cette capacité d’apport autonome, cette démarche d’action et de rassemblement.

Un processus politique priorisant l’action et le contenu des transformations

Ce qui est à l’ordre du jour, face à la mise en place accélérée du projet de société libéral de la droite, ce n’est pas un « changement » en général, mais une alternative radicale précise à ce projet : d’autres principes de transformation de la société que ceux du libéralisme et du social-libéralisme, pour sécuriser et promouvoir tous les moments de la vie de chacun-e. Cela correspond au niveau des refus et exigences populaires. Les luttes, le 29 mai, les événements des quartiers populaires, les sondages indiquent la force du rejet de l’évolution de la société imprimée par le libéralisme et de l’aspiration à d’autres solutions. Fidèle à sa raison d’être, le PCF se fixe l’objectif d’un changement de pouvoir, de politique et de société, permettant de répondre à ces attentes. Il décide de mobiliser toutes ses forces pour contribuer à une victoire durable, débarrassant notre pays du pouvoir de la droite et du Medef.

Comment ?

  • La 1re priorité, c’est rassembler sans attendre avec des propositions pour aider au développement des luttes pour résister et faire échec à la politique de la droite.
  • Dans ce mouvement, il s’agit de créer les conditions pour battre la droite, et améliorer profondément la situation des salariés et des citoyens. Cela implique un rassemblement populaire s’appropriant les contenus d’une politique vraiment alternative, et pouvant déboucher sur l’élection d’une nouvelle majorité de gauche.
  • Il ne faut pas reproduire les erreurs, donc les échecs, des précédentes expériences de gauche, et s’interdire ainsi de mettre en œuvre les transformations nécessaires. Ce rassemblement doit donc se donner l’objectif d’une politique rompant avec le libéralisme, par une nouvelle construction des objectifs sociaux, avec les moyens et les pouvoirs indispensables.
  • La construction d’un tel rassemblement découlera nécessairement d’un processus populaire enraciné dans les mouvements sociaux et citoyens. Le rôle de décideur doit revenir au mouvement populaire. Cela suppose notamment que les citoyens aient la possibilité de faire des choix clairs, sur des projets précis, au 1er tour des élections. On ne saurait donc accepter qu’ils puissent en être privés par un système de « primaires » ou des accords de sommet. Le PCF s’adresse aux travailleurs, aux citoyens, à toutes les formations se réclamant de la gauche, à leurs adhérent-e-s, aux militant-e-s syndicaux et associatifs, à toutes celles et ceux qui sont disponibles pour une dynamique permettant à chacun-e de se saisir des enjeux et participer aux choix. Avec notre démarche, nos initiatives, il s’agit de contribuer au développement de l’action et à un véritable débat politique national. Dans le cadre de cette pratique stratégique nouvelle, nécessaire pour ne pas refaire ce qui a échoué,

Le PCF avance les propositions politiques suivantes

  • Donner la priorité effective au mouvement populaire : chercher sans attendre à construire un large rassemblement du peuple de gauche, une union populaire agissante et exigeante sur les contenus. Dans le débat et l’action, il prendrait lui-même en mains l’élaboration d’un projet de profondes transformations sociales antilibérales, jusqu’à le faire porter par les forces et personnalités qui s’en réclament devant le suffrage universel, lors des échéances électorales à venir. C’est le seul chemin pour des alliances viables.
  • Faire porter les forums que nous organisons avec d’autres sur l’élaboration de propositions et sur l’action pour faire monter la prise en mains par les travailleurs et les citoyens d’un projet transformateur cohérent au plan national et européen. C’est une cohérence transformatrice suffisante qui doit conditionner les accords éventuels.
  • Engager pleinement le PCF, avec des propositions et un déploiement militant, actif et rassembleur, dans les entreprises, les quartiers, les villages, dans cet effort d’élaboration d’un projet de société et d’un programme politique de gouvernement de changement radical à soumettre aux électrices et électeurs.
  • Examiner les conditions dans lesquelles les forces et personnalités associées à l’élaboration et au contenu d’un tel projet, le seraient à la conception et à l’animation de la campagne sur ce projet, à une concertation sur les alliances ultérieures et les conditions de participation, le cas échéant, à l’exercice du pouvoir d’État, chaque composante du rassemblement gardant sa pleine autonomie de décision.
  • Même si le débat public doit être ouvert avec toutes les forces de gauche sans attendre, il n’est pas réaliste de croire aboutir à un tel programme de toute la gauche avant le 1er tour de l’élection présidentielle, lequel doit peser le plus possible dans ce sens.
  • En cas d’accord pour le 2e tour, comme en cas de participation éventuelle au pouvoir d’État, c’est encore l’action et les luttes indépendantes et rassembleuses, à partir des exigences transformatrices, qui rendront possible la réalisation des changements effectifs auxquelles notre peuple aspire. • ‑Pour le 1er tour de l’élection présidentielle, notre parti a mis en débat, depuis plusieurs mois, sa conviction qu’une candidature communiste sera la plus efficace pour porter, de façon conséquente, cohérente, rassembleuse et militante, le contenu du rassemblement construit dans l’élaboration d’un projet transformateur, en témoignant de sa diversité, de son ancrage populaire, de sa représentativité à gauche et dans le pays. Nous soumettons aux communistes la proposition de décider au Congrès de cette candidature, afin de pouvoir ouvrir le processus de sa désignation.
  • S’agissant des élections législatives, nous pensons qu’un progrès d’influence du PCF, à partir de ses propositions, est un enjeu essentiel pour un développement du mouvement populaire. D’où l’importance que nous attachons à la présence, au 1er tour, de candidats du PCF sur tout le territoire national. Cette conception permet que toutes les candidatures pouvant être efficacement représentatives d’un rassemblement transformateur soient examinées, les adhérent-e-s du PCF prenant leurs décisions souverainement dans chaque circonscription, conformément aux statuts de leur parti. • ‑Concernant la question d’une participation éventuelle à un gouvernement, le PCF se déterminerait en fonction du contenu d’engagements précis pris au grand jour pour des réformes transformatrices associées aux moyens de leur réalisation, et de garanties concernant le respect de son autonomie politique dans le pays comme dans les institutions. Sur la base d’une information précise, et d’une proposition du Conseil national, les communistes se prononceraient par un vote.

Ainsi, à toutes les étapes, s’exercera pleinement la souveraineté des communistes sur les décisions de leur parti. En aucun cas elle ne pourra être subordonnée à des décisions résultant de négociations de sommet.

Cela garantira leur participation démocratique aux rassemblements larges et efficaces auxquels ils veulent contribuer, pour réussir une transformation politique et sociale de progrès. ï ®

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