Mais comme le disait Einstein : «On ne peut pas résoudre un problème avec le même mode de pensée que celui qui a généré le problème». Or la colère contre l’injustice fiscale et sociale est la conséquence de ces réformes qui centralisent toute l’économie dans le cœur des métropoles et défait la France rural et péri-urbaine, qui privilégie la richesse des grandes fortunes et des multinationales et appauvrit le monde du travail, les quartiers populaires et même des couches moyennes qui avaient souvent voté pour ce «nouveau monde».
Tout le monde sait que le déclencheur des colères était cette taxe supplémentaire sur les carburants, la hausse de la CSG pour les retraités, et la suppression de l’ISF… c’est ce que disent les témoignages des cahiers de revendications recueillis en mairie.
Alors, accompagnons Michèle Picard qui va porter les messages des Vénissians au préfet, non pas pour participer à un grand débat piégé par le gouvernement, mais pour faire entendre nos colères, nos revendications, nos espoirs !
Rendez-vous devant l’entrée de la préfecture.
Vendredi 22 Février à 14h
devant l’entrée rue Servient