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Mehdi Kessaci, encore un jeune victime du narcotrafic : Poster un message

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Mehdi Kessaci, encore un jeune victime du narcotrafic

Le meurtre d’un jeune marseillais par la mafia du trafic fait réagir, mais on sait bien que la vague médiatique passera à autre chose rapidement, quand la violence des trafics continuera à Marseille comme dans tant de villes en France.

Mehdi est le jeune frère de Amine, militant contre les trafics et les violences, animateur de l’association « conscience » qui aide les familles pour changer le regard sur ces morts qu’il considère comme des victimes. Son grand frère Brahim avait été retrouvé brûlé dans une voiture. Amine en a tiré un livre « Marseille, essuie tes larmes ».

La situation marseillaise est connue de tous, étudiée par des sociologues, des éducateurs, des criminologues. Le journaliste Philippe Pujol décrit dans des livres terribles, la « fabrique du monstre » qui transforme des ados en tueurs.

Ce nouveau crime éclaire en retour le seul phénomène porteur d’espoir, la mobilisation citoyenne contre les trafics et les violences, la certitude que le travail nécessaire de police, de justice, de prévention, ne peut seul venir réparer une société profondément désocialisée dont les familles populaires sont les premières victimes, mais aussi la première force sociale capable de se lever pour dire non.

C’est la bataille à laquelle contribuent les communistes des quartiers nord de Marseille, avec des associations, dont celle de Amine Kessaci, avec l’appel de Marseille contre les trafics et les violences.

La plus forte réponse aux narco-tueurs, c’est de faire connaître cet appel, et de le reprendre partout…

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