Ce vendredi 17 janvier 2014, le Tribunal d’instance de Lyon (67 rue Servient) s’apprête à juger plusieurs cas concernant des occupations de logement précaires notamment celui d’Anaïs en contrat aidé (CUI).
Anaïs est aujourd’hui occupante sans droit ni titre et risque l’expulsion de ce logement sans qu’aucune solution ne lui soit proposée.
Avec 5 millions de privés d’emploi, des travailleurs précaires, des retraités pauvres, Anaïs n’est pas un cas unique hélas ! Mais elle a décidé de se défendre contre le pot de fer qui n’est rien d’autre qu’un propriétaire aisé.
Non seulement l’expulsion locative est demandée, mais le propriétaire exige aussi une condamnation de paiement d’une indemnisation de 1000 euros par mois d’occupation au titre du « préjudice subi »
Nous exigeons :
Que la procédure d’expulsion soit immédiatement stoppée tant qu’aucune solution de relogement durable ne soit trouvée.
l’annulation de la demande de paiement de l’indemnisation (pour préjudice subi)