Nous étions plus de 100 devant la mairie ce 22 novembre à répondre à l’appel de Amine Kessaci. Dans plusieurs quartiers de la ville, des habitants discutent, se mobilisent, cherchent comment ne pas rester silencieux, passif, comment obtenir des décisions de l’état pour que police, justice, prévention et santé publique fassent de ce drame du narco-trafic une vraie priorité.

Dans le quartier du boulevard Croizat, une centaine d’habitants ont écrit au préfet pour demander plus de moyens en permanence. Ils seront reçus prochainement en préfecture. C’est un premier pas.

Organisons une association citoyenne, comme Amine Kessaci l’a fait à Marseille, avec les riverains, les familles, les jeunes victimes de ces trafics qui pourrissent notre vie !

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