Fatiha Badri était discrète, tranquille et pourtant très présente dans son quartier avec son mari mohamed et leur fils zinedine. Ce ne sont pas les difficultés qui ont manqué, comme pour tant de familles populaires de Vénissieux, et la maladie s’y est mis, depuis deux ans avec des traitements lourds et difficiles à supporter, rendant les problèmes du quotidien encore plus lourds à porter. Comme beaucoup d’autres, elle se débattait avec une petite retraite sans pouvoir bénéficier des aides parceque comme beaucoup de petits salaires, c’est encore trop pour les barèmes sociaux…
Les communistes de Vénissieux et notamment de son quartier pyramide pensent à ses proches et l’accompagne par la pensée pour son retour en Algérie.
Nous n’avons pas de photos permettant de la mettre en valeur, alors qu’elle a participé à tant de manifestations, rencontres publiques, ou réunions de quartier. Mais elle restait toujours en arrière-plan.
Alors nous lui rendons hommage avec ces montages, l’un avec Vénissieux en arrière-plan, l’autre avec une fresque avec drapeau et poings levés…
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